SHALAN Ahmed – Hacker éthique
SHALAN Ahmed, un jeune égypƟen-portugais passionné par la cybersécurité, se disƟngue par son
parcours atypique et sa maîtrise précoce des technologies de sécurité informaƟque. Né à Tanta, dans
la région de Gharbeya en Égypte, il vit aujourd’hui en France, Île-de-France, il conƟnue de culƟver sa
passion pour la cybersécurité et d’approfondir ses compétences dans ce domaine en pleine évoluƟon.
Avec une curiosité sans limite et un engagement sérieux, il incarne une nouvelle généraƟon de
hackers éthiques prêts à relever les défis de l’ère numérique.
Un parcours linguistique et multiculturel
Ahmed Shalan maîtrise plusieurs langues : il parle couramment l’arabe, dans presque tous ses
dialectes, ainsi que le français et l’anglais à un niveau avancé. Il possède également des bases
en portugais. Cette diversité linguistique reflète son origine multiculturelle et son parcours
international.
Un talent précoce pour la cybersécurité
L’histoire d’Ahmed dans le monde de la cybersécurité a commencé tôt. À l’âge de seulement
11 ans, il s’initie à ce domaine grâce à son oncle, qui avait identifié le potentiel et les
opportunités d’avenir qu’offre ce secteur. Rapidement, Ahmed se passionne pour le hacking
web, une spécialité qu’il maîtrise aujourd’hui avec brio.
Il quitte l’Égypte pour rejoindre sa famille en France, mais garde un lien indéfectible avec ses
racines et ses débuts. Toujours impressionné par les innovations en cybersécurité, il n’a
jamais cessé d’apprendre et d’explorer les nouveaux outils et techniques du domaine.
Reconnu sur la scène
En tant que professionnel de la cybersécurité, Ahmed Shalan travaille actuellement à temps
partiel pour HackerOne, une plateforme collaborative où les hackers éthiques découvrent et
rapportent des failles de sécurité pour des entreprises du monde entier.
Son palmarès est impressionnant. Il a identifié plusieurs failles critiques dans des systèmes de
grandes entreprises, notamment :
3 failles en Facebook, avec des récompenses cumulées de 13 670 dollars en bug
bounties.
7 failles LinkedIn, où ses découvertes lui ont rapporté 18 420 dollars.
En plus de ces exploits, Ahmed a signalé trois failles critiques dans le système du ministère de
l’Économie égyptienne et sept bugs majeurs dans l’agence égyptienne B.TECH. Cependant,
son travail dans son pays natal n’a pas toujours été bien accueilli. En l’absence d’autorisation
officielle pour explorer ces systèmes, Ahmed a risqué de graves conséquences juridiques.
Heureusement, son jeune âge à l’époque et son intention purement éducative ont joué en sa
faveur.
Une approche éthique et innovante